Le constat général établi par la conférence sur la qualité des relations entre l’État africain et ses administrés s’est voulu particulièrement sévère et sans complaisance – bien qu’avec des variantes importantes selon les pays – sous trois aspects principaux:

• L’État n’est pas à l’écoute des citoyens
• L’État est généralement inefficace et même contre-productif
• L’État n’est pas impartial dans une société où la corruption gagne un terrain considérable